A propos

NEOL, fruit d’un long travail de recherches

La technologie  du purificateur NEOL a été développée par Antoine Piscopo, Docteur en Chimie à l’Université de Metz, en 2008, et intégrée pour la première fois à un purificateur d’air pour milieu hospitalier.

Les années qui suivent portent sur l’amélioration de la technologie et aboutissent au purificateur NEOL en 2013, après de nombreux tests réalisés en partenariat avec les universités de Metz et Versailles.

Le revêtement du grillage présent au coeur de NEOL est la clef de son efficacité. Il est composé de matériaux semi-conducteurs. Cette technologie est similaire aux panneaux solaires photovoltaïques. Ainsi, lorsque le revêtement est soumis au rayonnement UVa, il produit des oxydants et détruit tous les polluants qui y passent, laissant place à un air frais et sans odeur.

Une efficacité redoutable qui a pour avantage de ne stocker aucun polluant résiduel. Le purificateur ne tombe pas dans le piège de devenir un support de stockage et de prolifération de virus et autres bactéries. De plus, contrairement aux autres purificateurs par technologie UV, NEOL ne produit aucun ozone, gaz toxique pour l’Homme et la planète.

La pollution de l’air intérieur, un problème de santé majeur

 La pollution de l’air occasionne des problèmes de santé plus ou moins graves. Et contrairement à une idée reçue, c’est en espace clos ou semi-clos, où nous passons 80% de notre temps, que l’air est le plus pollué. Peu renouvelé, il permet la stagnation et de la prolifération de polluants de tous types :

  • COV (composés organiques volatiles) et autres polluants chimiques issus des peintures, des meubles, des matériaux de construction,…
  • Particules fines issues de combustions (cuisson des aliments, cheminées,…)
  • Virus et bactéries qui prolifèrent dans des systèmes de chauffage, de climatisation ou des VMC mal entretenues,
  • Allergènes (pollens, animaux, acariens)

Les taux de pollution sont renforcés en milieu urbain, où la pollution extérieure est aussi bien présente.

Cette pollution est responsable en France chez une personne sur trois de crises d’asthme, d’insuffisances respiratoires et allergies.

J'ai connu un temps où la principale pollution venait de ce que les gens secouaient leur tapis par la fenêtre.